Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 12

-Mais vas-y m’sieur ! Qu'est-ce qu'on a fait ?

-Présentez moi vos tickets et je vous laisse tranquille ! .... Il projette le faisceau lumineux sur la gamine ; Excusez-moi mademoiselle!

Élodie n'en revient pas ! Les petits cons n'ont même pas payé leur entrée, et elle se retrouve plantée là comme une courge, les boules vibrantes dans son cul, et un gode planté dans la chatte dégoulinante de plaisir inassouvi.

L'adolescente contient comme elle le peut son désir pour une bonne grosse bite qui la prenne sur le champs. Elle maintient les pans de sa robe croisés sur sa peau dénudée et ultra-sensible, mordillant le bout de son pouce pour ne pas supplier le garde de laisser ses racails la maltraiter.

-Bon allez suivez-moi ! Encore désolé pour le dérangement mademoiselle !

"Fait moi bouffer ta queue au lieu de t’excuser !" La petite brune ne se reconnait pas ! Elle aime le sexe c'est sûr, mais de là à supplier qu'on la baise ? Ce n'est pas elle, c'est pas possible ?

Les trois lascars, plus grandes gueules qu'autre chose, suivent le vigil. La salle plonge dans le noir juste avant la séance et Élodie, en maque de bite et privée de son orgasme écarte à nouveau les pans de sa robe, en observant autour d'elle pour s'assurer qu'elle est bien seule dans la petite salle sombre.

Elle glisse la main droite sur sa peau, étire son téton gauche ultra excité et commence à faire bouger lentement et profondément le gode dans sa chatte.
Elle sent la moindre veine du faux sexe frotter ses muqueuses aux abois. Elle appui contre la paroi vaginale afin d'y transmettre les vibrations dans son cul. Elle se mord la lèvre, étouffant un léger gémissement.

Sous l'emprise de ses sens aux abois, elle commence à accélérer les mouvement ls de la bite en vinyle, tapant le fond de son vagin avec le gros gland tendu. La gamine pose à nouveau ses pieds sur le dossier devant elle, écarte largement les cuisses, cambre ses reins au maximum et tend son bassin à l'avant.



*FOUIC .... CLAC* *FOUIC .... CLAC* *FOUIC .... CLAC* *FOUIC .... CLAC*

Les bruits humides de ses chairs pénétrées font écho aux claquement de la garde claquant sur son pubis trempés. La petite chienne a l'impression de se faire baiser, elle accélère le mouvement :

*FOUIC .. CLAC* *FOUIC .. CLAC* *FOUIC .. CLAC* *FOUIC .. CLAC*

Ses gémissements de plaisir et les bruits de sa baise à peine couverts par les sons du film, la petite salope se cambre de plaisir lorsque deux mains puissantes agrippent ses deux seins tendus.

Prisonnière de son plaisir, Élodie ferme les yeux et se laisse aller dans les mains puissantes qui se mettent à lui malaxer la poitrine, à étirer ses tétons tendus en l'air. La gamine se refuse d'ouvrir les yeux, elle se laisse posséder par l'imposante présence derrière elle. La petite salope exhibitionniste se réveille en elle, et d'excitation, elle accélère le pistonnage de sa chatte aux abois.

Sans crier gare, l'homme derrière elle lui tire les cheveux en arrière, lui arrachant un cri de plaisir et de douleur mélanger ; "Y va pas me ménager le salop !" Une grosse masse douce et aux effluves salées glisse sur les lèvres charnues et ouvertes de la petite brunette. Élodie l'aspire sans hésitation, arrachant un râlement rauque à l'étalon qui l'agrippe par les seins et entame un pistonage en règle de la bouche offerte.

*GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* *GWAH* *FLOC* *FLOC* *FLOC* *FLOC* *FLOC*

Les deux bites la pénètrent en profondeur, le gland de l'inconnu derrière elle tape contre sa luette. La gamine s'astique la chatte avec vigueur, en rythme avec le sexe dans sa bouche. L'homme accélère et force le passage de la luette pour lui baiser la gorge, il écrase ses grosse burnes poilues contre le petit nez retrousser de la gamine.

*CLAC* Il lui claque les seins copieusement et écarte les mains de la gamine pour s'emparer du manche en vinyle.

*CLAC* *CLAC* Il arrose copieusement la peau tendue des gros nichons de claques bien fortes et pistonne la chatte détrempée qui gicle d'éclaboussures de mouille sur ses cuisses ouvertes.


La petite est en pleine extase, toute la tension sexuelle cumulée de la matinée se libère en elle par vagues de plus en plus puissantes de plaisir.
Elle sent la jouissance monter et gonfler dans son ventre, elle est sur le point de jouir comme jamais. Ces cris étouffés par la gorge profonde font leur effet, le mec qui lui baise la bouche en profondeur, et qui lui pistonne la chatte comme un dératé est sur le point d’exploser !

Élodie sent la bite frétiller dans sa bouche, le gland gonfle dans sa gorge, elle pince ses deux tétons à pleine main pour se faire jouir en tendant son bassin au maximum. La bite artificielle explose au fond de sa chatte, elle y est presque !

Mais ce moment d'extase est soudain rompu, le mec se retire et lui arrache le gode de la chatte. Sans laisser le temps à la gamine de réagir, il la retourne de ses bras puissant et la plante à califourchon sur le dossier de son fauteuil. Il fait valdinguer la petite robe et la tire en arrière par les cheveux pour lui faire cambrer les reins et lui ouvrir le cul.

La gamine, violentée en levrette sent le souffle chaud de l'inconnu sur sa nuque. La violence animal de ce mâle lui donne la chair de poule.

*CLAC* Une énorme claque s'abat sur son cul tendu. La main agrippe sa fesse droite, l'écarte et il lui plante sa bite tendue dans la chatte.

-HAN .... La gamine gémit de plaisir sans retenue, enfin une bonne bite bien chaude lui perfore la chatte aux abois.

Le mâle derrière elle se plante au fond de sa petite chatte gonflée de désir.
Il se met à la limer sans retenue, ils sont seuls dans la salle sombre, éclairés par les lumières mouvantes du film. Élodie se laisse aller à son extase, entièrement nue et livrée à cette inconnu qui la ramone sans vergogne. Elle sa chose, son objet, elle n'existe plus que pour son plaisir.

Les cris de la gamine font écho au claquement du bide tendu claquant sur la peau flasque de son cul couvert de sueur.
Il lui assène des fessées bien calées qui arrache de nouveaux cris à la gamine qui est à nouveau sur le point de jouir.

Entre deux fessées, l'homme retire le chapelet de boules vibrantes et les fait nettoyer par la gamine en les lui collant entre les lèvres. Lui refusant à nouveau sa jouissance et son sperme, il se retire de la petite chatte aux abois pour se planter d'un seul coup de reins, au fond de son petit cul tendu.

-HANNNRRRGRGG ....

Un cri mêlé de gargouillis s'échappe de la bouche pleine de la gamine.

*CLAC* Il reprend les fessées sur le cul rouge de douleur de la petite et se met à l'enculer comme une brute.

La douleur cinglante des fessée se mêle rapidement aux plaisirs de la sodomie en règle qu'elle subit. Une nouvelle vague de plaisir se propage en elle, et Élodie se cambre encore plus comme pour tendre la peau de ses fesses au maximum et subir de plein fouet la pluie cinglante de fessées.

L'homme retire les boules de la bouche charnue déformée par le plaisir, la gamine se lâche :

-Oui .... vas-y .... encule-moi bien à fond putain! .... HAN .... HAN ....
HAN ....

Il n'en faut pas plus à l'inconnu qui lui soulève la cuisse gauche et la plante encore plus à fond. La gamine et secouée dans tous les sens, ses gros seins frottant sur le tissu du siège sur lequel elle est pliée en deux.

Il l'att à nouveau par les cheveux et claque les gros seins de la gamine en la sodomisant en profondeur. Elle ne s'est jamais fait traiter de la sorte, un animal en rut est en train de l'enculer comme jamais. Les gros couilles s'écrasent contre sa vulve gonflée à chaque nouveau coup de bite. Il lui mord le lobe de l'oreille en lui tordant un téton, la gamine n'en peut plus, elle se met à jouir tordue de plaisir et de douleur cinglante.

Les râles du mâle en rut se mêlent à ses gémissement de jouissance ultime, toute la tension sexuelle de ses derniers jours explose en une profonde jouissance qui explose comme un feu d'artifice dans sa chatte et dans son cul labouré.


Elle sent le sexe de l'inconnu frétiller dans son cul, le gland gonfle à nouveau et explose sa grosse dose de foutre chaud et gluant dans ses boyaux tendus et ramonés. Une nouvelle explosion de jouissance se propage dans tous ses organes, et elle s'écroule pliée en deux, les cheveux trempés de sueur sur son visage tordu de plaisir et de douleur mélangés.

Essoufflée, fourbue, le cul en feu, mais pourtant rassasiée, la gamine reste interdite dans sa position. L'homme derrière elle referme sa braguette et l’abandonne :

-Ils avaient raison les gamins, t'es une bonne grosse salope ma petite, revient quand tu veux ! Je te laisserai passer sans ticket !

Et le vigil se retire par où il a surpris la gamine, une porte de service dérobée derrière le dernier rang.

Le rire fourbe du géant dans la pénombre de la salle, glace le sang de la gamine qui vient de s'abandonner dans ce lieu public à un parfait inconnu, elle n'est plus qu'un parfait vide couille en manque de bite !

Élodie a les reins cassés en deux lorsqu'elle se relève du dossier sur lequel elle vient de se faire violemment enculer. Le sperme encore chaud s'écoule de son petit trou dilaté par le marteau piqueur qui vient de la défoncer. Sans même un mouchoir pour se nettoyer, et encore sous l'emprise de ses pulsions sexuelles, la gamine s'agenouille derrière la dernière rangée de fauteuils et se caresse doucement la vulve en récupérant le sperme gluant au bout de ses doigts.

Elle fait tendrement glisser ses mains entre sa pastille et sa petite fente, collecte le nectar gluant et s'en couvre les seins. L'adolescente caresse sa poitrine luisante, maltraite voluptueusement ses tétons encore tendus d'excitation, et porte les doigts enduits de foutre à sa bouche tout en continuant de se masturber avec gourmandise. Elle imagine son maître enrager de ne pouvoir la filmer en cet instant, ce qui rend le goût fort de ce sperme encore plus suave ; "La prochaine fois je le supplie de se vider dans ma bouche à ce salop !"

Gourmande, la gamine finit de se nettoyer les doigts et se relève fourbue, le cul en feu. Elle récupère ses godes trempés et sa robe en boule dans un coin ; "Ouf ! Il ne l'a pas déchirée, c'est déjà ça !" Elle sourit intérieurement s'imaginant contrainte de rentrer avec sa robe déchirée. "Mais putain, je vais pas bien moi ?" Sa mission terminée, elle rattache la robe, remet sa chevelure en ordre, et range les toys dans sa pochette avant de se diriger vers la sortie.

Le soleil l'éblouit lorsqu'elle retrouve la lumière extérieure, mais les doux rayons chauds font du bien à sa peau encore luisante de sperme étalé. "Putain j'dois encore puer le foutre à plein nez !" Le cul en feu, elle se fait discrète et se dandine jusqu'à l'entrée dérobée de l'immeuble dans l'impasse où elle s'est faite peloter par les ouvriers. Heureusement entre midi et deux, ils sont tous en train de bouffer ou de faire la sieste.

Elle parvient jusqu'à l'appart sans rencontrer personne et file sous la douche salvatrice. Une fois propre et pimpante, la gamine se remaquille et étale copieusement de la crème apaisante sur ses orifices rougit. "A ce rythme-là, va falloir que je m'achète des palettes de crème !" Se dit-elle en souriant. Élodie traverse ensuite le salon, nue, pour se trouver une nouvelle tenue, quand soudain elle entend sa mère sur le palier :

-Crois moi, elle va m'entendre celle-là ! Nan mais, on lui demande jamais rien et là elle se barre en ....

L'adolescente ne prend pas la peine d'écouter la fin du sermon, elle sait qu'elle va se prendre une rouste ! Elle doit vite fait se foutre un truc sur le cul, soit elle passe une petite robe pour sortir après l'engueulade de sa mère, soit elle fait ce que lui a ordonné son maître chanteur et elle se contente d'un mini string ficelle et d'un crop top sexy, mais elle a intérêt à se grouiller pour décider !

La jeune fille planque précipitamment la collection de godes dans sa table de nuit, et les recouvre de la petite robe puant encore le foutre. Elle se précipite ensuite vers sa penderie et en sort une longue chemise de fin coton soyeux et sans manches qu'elle ajuste vite fait. Elle chausse ensuite ses sabots à la plateforme de liège et retourne fissa au salon, juste au moment où sa mère passe le seuil de sa porte furax.

Élodie passe un sale quart d'heure, la vieille Pinot a apparemment mal pris le fait que l'adolescente l'ait laissée toute seule au magasin ! Alors que sa mère lui passe un savon majestueux et la prive de sortie pour le restant de la semaine, l'adolescente ne pense qu'à la profonde échancrure latérale de sa chemise qui laisse apparaître la rondeur de ses seins libres sous le fin tissu.

La brunette écoute sa mère d'une oreille distraite ; en choisissant un vêtement plutôt qu'un ensemble sexy, elle va à l'encontre des directives de son maître chanteur, mais c'est ce qui était le plus rapide à se mettre sur le cul. Que va faire le corbeau ? Est-ce qu'il va la pinger sur snap, ou pire est-ce que le téléphone de sa mère va vibrer en premier ? Et s'il envoie à sa mère les clichés compromettant ? Le corbeau, qui doit certainement les espionner, doit comprendre la situation ! "Il ne va quand même pas .... "
Élodie n'a même pas le temps de formuler la question dans sa tête que le téléphone de sa mère vibre :

BZZZZ .... BZZZZ ....

"Nan, putain ! Il a pas fait ça ?" Élodie commence à stresser à l'idée que le corbeau puisse joindre sa mère : "Nan, ça peut pas être lui !" Sa mère continue à l'engueuler tout en vérifiant son téléphone :

-Mais qu'est-ce c'est encore ? J'te jure ; rentrer d'un week end génial pour me faire chier d'la sorte ! Qu'est-ce qu'ils me veulent encore ?

Elle lit le message à voix haute :

-"Il y a des secrets qu'il vaut mieux ne pas connaître !" Mais qu'est-ce que c'est que cette connerie encore ?

"Putain l’enculé !" La brune n'a pas beaucoup de temps pour réagir. De son point de vue, elle n'a que deux solutions, soit elle se fout à moitié à poil pour rester chez elle, soit elle sort avec sa chemise pour seul vêtement. "Si je sors comme ça, j'vais m'faire violer, c'est pas possible ?" L'échancrure latérale qui lui paraissait si sexy il y a quelques minutes la fait soudain flipper.

-Ecoute m'an, j'suis désolée OK ? J'ai eu une urgence et j'pensais qu'la vieille peau s'en sortirait bien toute seule ! Merde, elle est payée pour ça quoi !

Élodie se surprend elle-même, jamais elle n'aurait osé répondre à sa mère !
Serait-elle en train de changer ? Poussée d'adrénaline ou ras le bol général, l'adolescente prend son sac à dos et son téléphone pour se diriger vers la porte d'entrée. Malheureusement, la jeune fille oublie un peu vite que c'est sa mère qui pote le pantalon dans le couple, la marâtre fait barrage avant d’ajouter :

-Pas si vite ma cocotte ! Je t'ai dit que t'étais punie jusqu'à la fin d'la semaine, non ?

-Mais mamaaaan euh !

-Et à 18 ans on sort pas comme ça, à moitié à poil ! .... "A moitié à poil ?
Si elle savait !" Pense la gamine .... Soit tu files dans ta chambre maintenant, soit je te prends ton téléphone en plus de ta punition !

-Nan nan! C'est booon euh !

En sale gamine, l'adolescente fait marche arrière et s'en retourne dans sa chambre, en claquant violemment la porte derrière elle :

-Et ne claque pas la .... VLAN !

La gamine se jette sur son lit, mais son téléphone la rappelle à l'ordre ....
PING ....

<2 minutes pour te changer sinon je balance !>

"Putain, y m'font tous chier là !" Furax, Élodie vire sa chemise et pioche dans les affaires que le maître chanteur lui a laissées ; "Putain, c'est abusé !" L'ado n'avait pas encore pris la mesure de ce que lui demande le corbeau en présence de ses parents. Elle a perdu les "vêtements" les plus habillant, il ne lui reste plus que des trucs minuscules. Elle choisit alors un micro-string ficelle rose bonbon et pour le haut, elle enfile un crop top à bretelles spaghettis, à la base découpée s'enroulant jusqu'à la naissance de ses seins.

Lorsqu'elle se regarde dans le miroir, elle aperçoit la fente de sa moule parfaitement dessinée sous le petit triangle de tissu, et la bande de tissu de son top recouvre tout juste sa poitrine généreuse et légèrement tombante sans soutien. Ses jolies mamelles en forme de poire au tétons naturellement gonflés pointent négligemment sous le fin tissu. Perchée sur les semelles compensées, elle admire le galbe de ses jambes et de son joli cul arqué, elle commence à apprécier le reflet que lui retourne le miroir.

Elle passe les quelques heures de la fin d'après-midi à remplir son journal.
Elle se remémore ces derniers jours et l'accélération de son éducation sexuelle qui a pris un tel virage sous la direction de son maître chanteur et de ces deux porcs de Romu et d'Enzo. Ce n'est qu'aux alentours de 18h00, après qu'elle ait pris le temps de mieux ranger ses nouveaux jouets, que son smartphone la rappelle à l’ordre :

*PING*

<Voir ton petit cul se trémousser comme ça me donne envie de te voir te branler comme une petite salope en manque ! Tu vas te branler en matant cette vidéo> .... Il lui envoie un lien youporn, et un compte privé pour le visualiser .... <Mais attention, tu te branles avec tes boules vibrantes et à travers ton string, et t'avise surtout pas de jouir ! Maintenant que je sais que t'es une grosse chienne de mouilleuse je veux te voir détremper ton string ! Tu vas te branler les jambes écartées sur ton bureau devant ton ordi, et avec ton phone en live stream en face de toi que je puisse me rincer l’œil !>

"Putain d'enfoiré, il a fini ?" La jeune fille n'en revient pas de la liste des doléances de ce "connard ! Y a pas moyen que je jouisse pour ce débile de toute façon !" Par dépit plus que par conviction elle sort les boules de geisha de leur cachette et se prépare au spectacle. Après tout il n'a pas tort, elle mouille plutôt facilement, surtout ces derniers temps. Elle se demande même si elle n'aurait pas éjaculé au moins une fois !

Elle installe son ordi, et s'apprête à ouvrir le lien lorsqu'elle les entend rentrer ! "Merde ! Ils ont d'ja fini ?" Impossible de mettre le son, et de toute façon, le corbeau ne lui pas interdit de porter un casque ; "Dans ta face !" Lorsque le lien s'ouvre sur l'écran, Élodie n'en revient pas ; elle reconnait le bar derrière lequel elle s'est faite prendre en double.
L'enfoiré se sert des vidéos de surveillance de l'endroit pour la mettre en scène.

Le seul détail qui la sauve réside dans le floutage de son visage, c'est la seule chose qui l'anonymise. Elle reconnait parfaitement le style particulier des décorations de son casque, et son gros moustachu de prof de SVT! "Mais t'es sérieuse ou quoi ?" Est-ce vraiment le seul point qui l’inquiète ? Est-ce qu'elle ne devrait pas plutôt être choquée, perturbée, horrifiée de se retrouver à un ou deux clicks de n'importe quel pervers ? Etonnamment, elle sent presque une douce chaleur naître au creux de son ventre. Elle ne s'est jamais vraiment demandé ce que pouvait voir tous les salops qui nt de ses trous depuis trois jours.

Élodie se détend soudain sur sa chaise. En se regardant, allumeuse dans sa micro-jupe, elle promène son index droit sur sa bouche charnue, glisse sa main gauche le long de son ventre découvert. Elle se trouve sexy dans son mini ensemble de "motarde" vicieuse. Les sons de musique et de brouhaha ambiant du bar la ramènent à cette soirée. Elle sentirait presque les odeurs l'entourer. Elle commence à soupirer, sa respiration se fait plus lourde, plus chaude à mesure que les souvenirs remontent en elle.

Dans son délire, elle ne voit pas la liste de personnes doucement augmenter sur son live. Elle est tout entière concentrée sur son propre plaisir, elle revit les moments qui l'ont conduit à être contrainte à aller se branler dans les chiottes. Élodie humidifie la première boule vibrante, avant de la glisser doucement sur ses lèvres vaginales :

-Humph ....

Elle se cambre doucement, sensuellement sur sa chaise, et ses cuisses s'ouvrent un peu plus. La gamine glisse sa main droite sous le tissu de son top, elle fait rouler son téton gauche sous son doigt humide de bave glissante.

-HUN Oui ....

Elle ressent le stress d'être la proie de cet inconnu anonyme, elle le sent l'épier derrière ses écrans, la pression se transforme en une pulsion sourde et bouillonnante au plus profond de son être, rayonnante dans son ventre. La belle se cambre un peu plus, incline sa tête en arrière, les yeux fermés, les yeux entrouverts et brillant de désir. Elle sent encore la confusion entre le dégoût mélangé avec le désir obscène d'être réduite à un sac à foutre, dans les chiottes puantes d'un troquet du 9-3.

BZZZZZZZ ....

La boule vibrante glisse sur le coton de son micro-string, le plaisir se propage entre ses cuisses ouvertes et offertes en live. Elle fait mine de se révolter, d'être dégoûtée de son nouveau statut de trainée, mais son cerveau ne peut plus lui mentir, au fond elle aime être la petite salope à laquelle ses mâles l'ont réduite.

-Han .... putain .... Hun .....

Elle se mord la lèvre pour contenir un gémissement annonçant sa jouissance à venir. Les mouvements de la sphère vibrante se font plus précis, plus pressant sur son clito gonflé. Sa vulve fond et s'humidifie de plaisir naissant, sa respiration s'accélère sensiblement :

-Han .... han .... ouiiii .... hun

Elle penche sa tête en avant, accélère le frottement du jouet vibrant sur sa vulve, et se mord la lèvre lorsqu'elle se voit se rendre dans les chiottes puantes, quand soudain :

*PING*

La sonnerie la coupe dans son élan, elle a bien failli se faire jouir comme une idiote :

<Essaye encore une fois de te faire jouir et ça part !>

A peine coupée dans son élan, Élodie se voit accroupie devant la porte ouverte du toilette, les cuisses ouvertes, après montage, encadrée par les deux bites qui s'astiquent de chaque côté de son visage. A nouveau, elle sentirait presque les odeurs des deux mâles de chaque côté de son visage.
Elle se lèche les lèvres, gourmande, imaginant les tiges de chairs se faire astiquer autour de son visage poupon. La boule vibrante s'enfonce doucement entre ses lèvres gonflées de désir, son clito bandé vibre contre son pubis, la mouille trempe lentement le tissu rose de son string.

La boule vibrante roule et tourne sur ses chairs enflées de désir, Élodie sent les vibrations se propager dans les profondeurs de son sexe ouvert, pour remonter et se répendre au creux de son ventre tendu. Le triangle du string s'humidifie de sa mouille et commence à s'immiscer entre ses lèvres. Élodie fait rouler son téton enflé entre son pouce et son index, puis l'étire lorsque la chaleur se remet à enfler dans son ventre ;

-Haaaan .... hunph .... hunph ....

Le plaisir monte à nouveau en elle, ses jambes s'ouvrent au maximum, ses reins se cambrent sur le dossier de sa chaise, le ventre se tend, gonfle et se rétracte avec chacun de ses soupirs. Élodie a envie de jouir, de se faire du bien, de défier cet enculé de maître chanteur ! Mais l'image du smartphone avec sa photo et le numéro de sa mère refait surface en elle, comme un frein à son plaisir.

Un des écouteurs glisse de son oreille, elle reprend contact avec la réalité, lorsqu'elle entend toquer à sa porte :

*TOC* *TOC*

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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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